Voulon

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Voulon
Voulon
L’église Saint-Maixent à Voulon-86
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Montmorillon
Intercommunalité Communauté de communes du Civraisien en Poitou
Maire
Mandat
Roland Latu
2020-2026
Code postal 86700
Code commune 86296
Démographie
Gentilé Voulonnais
Population
municipale
469 hab. (2021 en augmentation de 5,39 % par rapport à 2015)
Densité 56 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 21′ 26″ nord, 0° 14′ 49″ est
Altitude Min. 92 m
Max. 145 m
Superficie 8,31 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lusignan
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Voulon
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Voulon
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Voulon
Liens
Site web http://www.voulon.fr/

Voulon est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située dans la communauté de communes de la Région de Couhé, dans le canton de Lusignan et dans le département de la Vienne.

Le village se situe entre Anché et Vivonne.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Voulon
Vivonne
Voulon Anché
Valence-en-Poitou

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune de Voulon est située dans le prolongement d'une grande colline, allongée selon un axe nord-ouest/sud-est, appelée le horst de Champagné-Saint-Hilaire[1]. Sur la commune, le horst de Champagné-Saint-Hilaire est affecté de failles transverses à son axe qui ont pour effet :

  • de permettre aux cours d’eau du secteur de confluer à cet endroit et de traverser ensemble cette zone surélevée du horst. La Dive (Dive du Sud) et la Bouleure, deux affluents significatifs de la rive gauche du Clain, convergent ainsi à Voulon pour rejoindre ensemble le Clain après seulement 300 mètres de cours commun[2] ;
  • de décaler vers le nord, d'environ 1,5 kilomètre, l'extension nord-ouest du horst de Champagné que l'on retrouve à Voulon avec un moindre relief, encadré par les failles de Voulon et de Pilon[3], avec une altitude d'environ 140 mètres soit un relief actuel de seulement 10 à 15 mètres par rapport aux plateaux environnants.

La région de Voulon présente un paysage de bocages et de vallées.

Le paysage de bocage dans le département de la Vienne se caractérise par des champs cultivés ou des prés enclos par des haies avec des alignements plus ou moins continus d'arbres et arbustes. Ces haies si caractéristiques contribuent à une meilleure qualité des eaux, permettent son infiltration et protègent ainsi contre l'érosion des sols. Elles constituent des zones de refuge pour la biodiversité. Elles ont, aussi, un rôle de régulation climatique et de nombreux intérêts agronomiques (brise vent, protection du bétail...). Toutefois, avec la modification des pratiques agricoles (intensification et simplification des cultures, utilisation massive d'herbicides, mécanisation) et les remembrements fonciers à partir des années 50, elles ont laissé la place à un espace plus ouvert et sont menacées de nos jours. Ainsi, au niveau de la région Poitou-Charentes, ce sont plusieurs milliers de kilomètres de haies et d'arbres isolés qui ont disparu. On estime que 35 000 km de haies ont été supprimées depuis les années 1960, soit 36 % de perte en moyenne[4].

Le terroir se compose[5]:

  • de Terres Rouges (ce sont des sols couleur acajou, siliceux, dérivés d’argiles ferrugineuses à silex provenant d’épandages superficiels du Massif Central) pour 2 % sur les plateaux,
  • d'argile à silex peu profonde pour 33 % situés sur les plateaux du seuil du Poitou,
  • de groies superficielles pour 40 % sur les plaines calcaires (Les groies sont des terres du Sud-Ouest de la France, argilo-calcaires, peu profondes - en général de moins de 50 cm d’épaisseur – et plus ou moins riches en cailloux. Elles sont fertiles et saines et donc, propices à la polyculture céréalière mais elles s’assèchent vite).
  • de 25 % de calcaire qui se trouve dans les vallées alluviales.

En 2006, 80 % de la superficie de la commune était occupée par l'agriculture, 18 % par des forêts et des milieux semi-naturels et 2 % par des zones construites et aménagées par l'homme (voirie)[6]. La présence de milieux naturels et semi-naturels riches et diversifiés sur le territoire communal permet d’offrir des conditions favorables à l’accueil de nombreuses espèces pour l'accomplissement de leur cycle vital (reproduction, alimentation, déplacement, refuge). Forêts, landes, prairies et pelouses, cours d’eau et zones humides … constituent ainsi des cœurs de biodiversité et/ou de véritables corridors biologiques.

La forêt privée représente, en 2007, 131 hectares soit 16 % du territoire communal[7]. Les espaces boisés (la moyenne sur la région Poitou-Charentes est de 15 %, et 29,2 % pour la France) sur le territoire communal contribuent à assurer des fonctions de production (bois d’œuvre mais aussi bois énergie), de protection (espèces, qualité des eaux) et sociales (accueil du public). Les forêts les plus anciennes ou implantées dans des conditions écologiques particulières (pentes, bords de cours d'eau, etc.) abritent en général la biodiversité la plus forte. Mais, au cours de l’histoire, pour répondre aux besoins d'une population rurale importante, la forêt poitevine a été intensément défrichée et surexploitée jusqu’à la révolution industrielle. Environ la moitié des forêts actuelles du Poitou n'existait pas il y a 200 ans[8].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par 8 km de cours d'eau, avec comme rivières principales : le Clain sur une longueur de 4 km, la Bouleure sur une longueur de 1 km, et la Dive (Dive du Sud) sur une longueur de 3 km. Comme pour l'ensemble de la région Poitou-Charentes, la commune a vu la qualité de son eau se dégrader ces dernières années. Au déficit récurrent s'ajoute une pollution engendrée par les diverses activités humaines, notamment agricoles. Ainsi, la commune se situe en zone de répartition des eaux, où l'on observe une insuffisance chronique des ressources en eau par rapport aux besoins. Par ailleurs, elle est concernée par le classement en zones sensibles, où une élimination plus poussée des paramètres azote et/ou phosphore présents dans les eaux usées est nécessaire pour lutter contre les phénomènes d’eutrophisation[6].

Vingt mares ont été répertoriées sur l’ensemble du territoire communal (30 000 recensées dans la région de Poitou-Charentes). Les mares de Poitou-Charentes ont été créées par l'homme, notamment pour répondre aux besoins en eau des habitants (mares communautaires), du cheptel ou à la suite d'activités extractives (argile, marne, pierres meulières). Très riches au niveau botanique, elles jouent un rôle majeur pour les batraciens (tritons, grenouilles), les reptiles (couleuvres) et les libellules. Elles sont un élément symbolique du patrimoine rural et du maintien de la biodiversité en zone de plaine et de bocage[9].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 785 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Ferrière-Airoux à 12 km à vol d'oiseau[13], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 762,1 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Voulon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[17],[18],[19].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (40,3 %), zones agricoles hétérogènes (25,9 %), forêts (18,5 %), prairies (12,5 %), mines, décharges et chantiers (2,6 %), zones urbanisées (0,3 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Voulon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Clain, la Dive du Sud et la Bouleure. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1995, 1999 et 2010[25],[23].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Voulon.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[26]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[27]. 98,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[28].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[23].

Histoire[modifier | modifier le code]

Selon Henri Martin[29], Voulon - et non Vouillé -, serait le site de la bataille des Francs conduits par Clovis contre les Wisigoths d'Alaric II en 507 (les lieux cités par Henri Martin dans son Histoire de France sont : Gué de la Biche, Plateau de Sichar, Plaine de Voulon, Mougon)[30]. Mgr l’Évêque d'Orléans, Monsieur de Beauregard estimait également que, selon les antiquaires de l'Ouest, « cette bataille célèbre ne s'est point livrée à Vouillé, dont jusqu'ici elle a mal à propos porté le nom (...) l'action avait dû s'engager au sud de Poitiers, aux anciens gués du Clain à Mougon, et surtout à Voulon, en face desquels il (M de Beauregard) a retrouvé les restes du petit et du grand camp de Clovis, et qu'elle s'est terminée dans les plaines en avant de Champagné-Saint-Hilaire; de sorte que, si désormais on veut désigner par un nom moderne de combat si fameux dans nos annales, c'est celui de Voulon et non celui de Vouillé qu'il faudra lui donner »[31].

Jusqu'au XIXe siècle, Voulon est le chef-lieu d'un archiprêtré comprenant Vivonne et Lusignan.

En 1803, l'église dépend de celle de Anché.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[32]
Période Identité Étiquette Qualité
1989 2 février 2020 (décès) André Sénécheau DVD Conseiller général du Canton de Couhé de 1992 à 2015
mai 2020 En cours Roland Latu SE  
Les données manquantes sont à compléter.

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].

En 2021, la commune comptait 469 habitants[Note 4], en augmentation de 5,39 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
189216203273271282275270435
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
273316331294280271269278385
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
378360323326341319339330317
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
286263252248232304337417449
2021 - - - - - - - -
469--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 41 hab./km2, contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[37], il y a autant d'exploitations agricoles en 2010 qu'en 2000 soit sept.

Les surfaces agricoles utilisées ont augmenté de 5 % et sont passées de 463 hectares en 2000 à 487 hectares en 2010[37]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[38].

52 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre), 21 % pour les oléagineux (colza et nevette), 8 % pour le fourrage et 8 % restent en herbe[37].

Au cours de cette décennie, quatre fermes ont développé un petit élevage d'ovins (54 têtes en 2010)[37].

Commerces[modifier | modifier le code]

Les commerces sont un bar restaurant, un menuisier, un peintre, un salon de coiffure et plusieurs artisans.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Une petite école primaire au cœur de cette commune.
  • L'église Saint-Maixent de Voulon actuelle date du XIXe siècle. Elle a été élevée à l'emplacement d'un édifice ancien.
  • La chapelle Saint-Macoux était autrefois agrémentée d'une fontaine, asséchée à la suite de travaux. Les enfants atteints de difformités aux jambes, surnommés « marcouins », y étaient trempés dans l'espoir d'une guérison. Sur la façade de la chapelle, la date de 1875 évoque l'année de construction de l'édifice.
  • Un four à pain du XIXe siècle. Ce four témoigne d'une période pendant laquelle chaque famille fabriquait elle-même son pain.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références[modifier | modifier le code]

  1. Jean Gabilly, Élie Cariou et alii, Guides géologiques régionaux, Poitou-Vendée-Charentes, Masson, 2e éd., Paris, 1997, 223 p., (ISBN 2-225-82973-X).
  2. Pierre Rossignol, Bernard Balusseau, Louis Vibrac, Le Horst, une histoire naturelle et humaine. Geste éditions, La Crèche, 2014, 165 p., (ISBN 978-2-36746-262-2).
  3. Élie Cariou, Jean-Michel Joubert, Notice explicative de la carte géologique de France à 1_50 000, feuille Lusignan (612), Orléans, BRGM, 1989, 42 p..
  4. Etude 'Evolution du linéaire de haies en Poitou-Charentes', IAAT 2006 – 2008
  5. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charente - 2007
  6. a et b Observatoire Régional de l'Environnement de Poitou-Charente
  7. Centre Régional de la Propriété Forestière de Poitou-Charente
  8. IFEN-BD CORINE Land Cover® 2006, toutes couches « Forêt », hors espace vert artificialisé non agricole
  9. Mares répertoriées par maille, d’après cartes IGN, dans l’Inventaire des mares de Poitou-Charentes - Poitou-Charentes Nature 2003
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Orthodromie entre Voulon et La Ferrière-Airoux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « La Ferrière Airoux_sapc » (commune de La Ferrière-Airoux) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  15. « Station Météo-France « La Ferrière Airoux_sapc » (commune de La Ferrière-Airoux) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  23. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Voulon », sur Géorisques (consulté le )
  24. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  28. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
  29. Histoire de France depuis les temps les plus reculés jusque 1789 par Henri Martin / 4e édition / 1865 / Chez Fune, Jouvet et Compagnie, à Paris.
  30. Abbé Lebeuf 1739. Ménard 1837: Mémoires de la Société des Antiquaires de l'Ouest.
  31. Google livre, Mémoires de la Société des antiquaires de l'Ouest, Volume 1 ; Société des antiquaires de l'Ouest (Poitiers, France)
  32. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. a b c et d Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  38. Agreste – Enquête Structure 2007

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]